la géomatique ?

 Qu’est-ce que c’est la géomatique ?

Le mot géomatique vient de : Géo qui signifie géoscience, géographie Matique qui signifie informatique et mathématique. La géomatique est une discipline symétrique (touche plusieurs domaines) c’est-à-dire une pluri discipline regroupant les pratiques, les méthodes et les technologies permettant la collecte, la gestion, la manipulation, l’analyse, la restitution et la diffusion des données géographique à référence spatial.

La géomatique fait appel aux sciences et aux technologies reliées à leur acquisition, leur stockage et aux diffusions des informations à référence spatiale. La géomatique touche de nombreuse discipline pouvant être subdivisé en trois domaines d’activités. Tous projet géomatique va commencer parle domaine l’acquisition des données géolocalisées, pour ce fait on utilise les technologies comme le GPS, les relevés par drone ou avion, relevées par laser LIDAR, les images satellitaires. Ensuite ses données sont transformées et intégrée (stockage) dans des systèmes d’information géographique (SIG) tels que Arcgis, Qgis, PostgreSQL, MapInfo, Erdas imagine, Envi pour des traitements. Le troisième domaine d’activité de la géomatique consiste à faire des analyses en effectuant des simulations et restitutions du phénomène observé sur un territoire : exemple de l’étude de l’étalement urbain d’une ville sur trente années, analyse de la mobilité urbaine et de son réseau routier, gestion des espaces à risque et sensible.  Tous ses différents domaines d’activité sont inclus dans la roue de la géomatique qui à son niveau compte quatre pilier : le GNSS,les DOT, SGM et les SDI.

Importance du SIG

La particularité du SIG est de pouvoir mettre en relation sur un même territoire les données provenant des sources différentes. Exemple : il est possible de dire qu’une école est situer à un endroit précis par rapport à un lieu et de donnée les statistiques de performance de cette école par rapport à une autre

Le SIG permet aussi de voir le phénomène étudier sur un territoire du local au global c’est-à-dire observée un même phénomène de l’échelle d’une commune à celle d’un pays (seul le SIG est capable de faire ça). Les SIG permettent de répondre au questionnement du quintilien qui sont les questions fréquemment poser sur le territoire. Son questionnement permet de décrypter l’espace géographique

Où : ou se situe le phénome étudier (la référence spatial)

Quoi : quel est l’objectif visé (vision stratégique)

Comment : comment sont-ils associés dans l’espace étudier (analyse spatial)

Quand : comment évolue le phénomène étudier ? (Important dans l’analyse temporel)

Et si : il si cette évènement se produisait ici en non là-bas ? (Important dans les Simulations)

 Les composantes d’un SIG

Les SIG présente plusieurs composante parmi lesquelles les composantes SIG logiciels : les Serveurs de données Oracle Spatial, Bentley, ArcGis ; les serveurs SIG sur internet Mapguide, MapXtreme, Mapserveur, ArcIMS, Manifold ; les Outils SIG professionnels sous licence Geomédia professional, ArcInfo, ArcGis, Apic, MapInfo ; les Outils SIG professionnels libres et gratuits QGIS, SagaGIS, GrassGis, gvSig ; les Composantes SIG MapObjects, MapX, ArcObjects, GeoObjects, AtlaMap ; les Outils CAO- SIG Microstation, Autocad Map, Autodesk, Archicad, Geographics ; les SIG mobile ArcPad, PocketGis, Maxtend, ODKMap, Kobocollect ; les Outils de consultation Arc explorer, Geo explorer, Arc reade.

 Les composantes SIG données. Ses donnees peuvent être représentée soit par le mode vecteur pour les phénomènes discrets, soit par le mode image pour les phénomènes continus. Elle est également définie par les notions de positionnement et de topologie. Phénomènes discrets et continus sont liés aux notions d’unités d’observation régulières et irrégulières (Stéphane Joost).

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